Encore moins d’amour, c’est sanitaire…
Nous sommes des êtres de lien, des mammifères grégaires. Nous avons besoin de la famille, du groupe, de la tribu ou de ses équivalents. S’il y a une chose qui a été bien malmenée avec cette crise, c’est bien dans notre tissu social qu’il y a eu les pires dégâts : nos aîné.es isolé.es, separé.es mourant seul.es ; nos jeunes ayant interdiction de se voir, jouer ensemble, faire la fête ; le télé-travail qui rompt les liens entre
Manifeste
Masques, distanciation, confinement, fermetures de commerce, couvre-feu. Restrictions qui augmentent sans qu’on ait la preuve que cela fonctionne réellement. Enfants masqués, menaces de rendre obligatoire un passeport vaccinal, faillites en série, augmentation des suicides et de la violence conjugale, nos aînés qui meurent seuls, nos jeunes qui désespèrent. Est-ce que le jeu en vaut la chandelle? A-t-on réellement sauvé plus de vies qu’on en a perdu?
De l’information incohérente, contradictoire, inapplicable, qui semble s’improviser au jour le jour et ressemble plus à une joute politique qu’un véritable travail de santé publique. Pas de contre-expertise, pas de consultations publiques, pas de données transparentes ou probantes, des décisions prises en petit comité puis imposées à tous sans prendre en compte les dommages collatéraux.
Notre collectif, composé de personnes soucieuses de notre avenir commun, dit : ASSEZ!
Nous voulons :
Ouvrir le dialogue :
il est temps qu’on puisse se parler calmement sans passer pour des complotistes dès que l’on remet en question le narratif officiel véhiculé par le gouvernement et les médias de masse.
Agir socialement, solidairement et pacifiquement :
nous devons réparer le tissu social mis à mal par des mesures sanitaires disproportionnées, injustes et délétères. Nous devons considérer les conséquences de ces démesures sur l’ensemble de la population.
Sortir de la Peur et reprendre le pouvoir sur nos vies et notre santé :
nous ne voulons plus être traités comme des enfants par un gouvernement qui entretient la peur à propos d’une crise sanitaire qui sert plus à imposer un agenda politique qu’à réellement sauver des vies. Nous voulons que l’emphase soit mise sur la prévention, le traitement des malades, la sauvegarde de nos droits en santé (ce qui inclut le droit à la protection de la vie privée dans la relation médecin-patient.e et nos droits de choisir ce que nous mettons dans notre corps). Nous comprenons que les virus font partie de la vie et qu’il est impossible de les contrôler ou de les éradiquer complètement. Nous savons qu’il y en aura d’autres et nous refusons de revivre ces démesures à chaque apparition d’un nouveau virus, ou d’un variant.
Respecter le vivant :
la gestion de cette crise est un désastre social et environnemental. Les dommages collatéraux sont nombreux et auront des impacts à long terme sur le développement des enfants, sur les liens familiaux et intergénérationnels, sur la dignité humaine et sur l’écologie de notre planète Nous voulons que les mesures misent en place tiennent compte de la qualité de la vie.